La première fois que j’ai été témoin de la nudité d’une femme, c’était avec mon demi-frère: mon frère et moi nous disputons en bas, pendant que mon père et ma belle-mère sont en haut dans leur chambre…comme c’est tôt dans l’après-midi, la consigne générale est comme d’habitude de rester tranquille pendant la journée, pour ne pas réveiller mon père…les choses entre nous dérapent, et la chose suivante dont je me rappelle est qu’elle hurle mon nom et des insultes du haut des escaliers…elle a les cheveux hirsutes tels un pissenlit, elle est toujours en sous-vêtements, portant un espèce de T-shirt large…sans qu’elle le sache, son sein gauche pend hors du haut de son T-shirt, et se balance vers moi pendant qu’elle hurle…
A deux portes de notre duplex vit une famille avec 2 enfants à peu près du même âge que mon frère et moi…ce sont des gens vraiment très gentils, donc nous passons beaucoup de temps à traîner chez eux, manger leur nourriture, avec leur mère jouant notre baby-sitter occasionnelle…la plus âgée des enfants, celle de mon âge, est un mignon garçon manqué qui est turbulent et extraverti, jouant au football et au baseball avec nous autres les garçons…mon frère n’a pas autant que moi l’esprit de compétition, et n’aime pas le sport, c’est donc bien d’avoir un ami proche qui aime jouer même si c’est une fille…ce n’est pas inhabituel que l’on nous laisse elle et moi tout seuls dans leur maison ou la notre pour jouer, puisque nous sommes des enfants assez murs d’après la plupart des normes…une nuit, laissés tout seuls à nos propres soins, elle me demande si je veux jouer un jeu…toujours partant pour la compétition, je lui demande à quel jeu elle voudrait que l’on joue…elle me dit qu’elle veut jouer au docteur, et quand je lui demande quelles en sont les règles, elle m’explique vaguement que je suis le docteur et qu’elle est la patiente…ne comprenant pas complètement où elle veut en venir, j’accepte quand même…elle m’emmène derrière le bar au sous-sol où il fait vraiment très sombre, et s’allonge sur le sol froid…elle me dit qu’elle est maintenant prête pour être examinée, donc je fais innocemment semblant de vérifier son cœur avec un stéthoscope imaginaire, et lui prends le pouls au poignet…elle a l’air de s’impatienter quelque peu, alors je lui demande ce qui ne va pas…elle ne répond rien, donc je continue de jouer le jeu, lui posant le genre de questions que les docteurs me posent; "est-ce que tu as mal a l’estomac? est-ce que tu dors bien?"…je trouve ce jeu un peu stupide, mais je suis intrigué par le fait de jouer ce jeu dans le noir quasi-total …elle me demande si je veux l’examiner un peu plus, et je dis ok…toujours allongée sur le sol, elle descend sa culotte sur ses genoux, dévoilant son vagin imberbe…c’est la première fois que je vois un vagin, et je le fixe, choqué par la différence qu’il y a entre elle et moi à cet endroit précis…ma tête commence à bourdonner, alors que je suis submergé par une sensation bizarre d’excitation sexuelle…elle est simplement couchée là, immobile, et je ne sais pas vraiment ce que je suis censé faire, ou ce qu’elle veut que je fasse…j’ai honte de la sensation qui m’envahit de faire quelque chose de mal, même si personne ne m’a jamais expliqué quoi que ce soit qui puisse m’indiquer que c’est un tant soit peu mal…elle veut que je la touche, et lorsque je refuse, elle remonte soudainement sa culotte et dit "ok, c’est ton tour"…tout ça me rend tellement fou que je lui dis que j’en ai assez et que je ne veux plus jouer…c’est aussi au cours de cette même nuit qu’elle m’explique très méticuleusement, et avec beaucoup de détails, que le Père Noël n’existe pas…
De retour à l’école en classe de CE1, j’excelle dans mes études, et on me dit systématiquement que je suis le meilleur de la classe en lecture, sciences, et math…les instituteurs me montrent comme l’exemple aux autres élèves de la classe de ce qu’ils attendent d’un élève, particulièrement dans l’animation des discussions de classe et dans les questions pertinentes et encourageantes au sujet de ce qui est enseigné…comme récompense de mes efforts scolaires et de mon aisance à prendre la parole en public, on me demande de lire une partie de la Déclaration d’Independence devant tous les élèves et leurs parents dans le cadre d’une réception nocturne de l’école, ce qui a l’air selon toute vraisemblance d’être très important…puisque l’événement a lieu dans encore quelques semaines, mes instituteurs me donnent du temps supplémentaire en dehors de mes études normales pour le préparer…
Chaque jour après le déjeuner, on laisse sortir tous les enfants du CP au CM2 dans la cour de récréation s’amuser pendant une demi-heure…puisque le baseball est mon sport favori, je passe d’habitude mon temps dehors à y jouer…une après-midi pendant que nous jouons, j’envoie ma balle dans le coin d’enfants plus âgés que je connais pas…lorsque je m’approche de ce groupe d’enfants pour récupérer la balle, un garçon d’environ 3 ans de plus que moi refuse de me la rendre, se moquant de moi devant ses camarades…et débute un jeu stupide où j’essaie d’attraper la balle et il la retire à chaque fois…je commence à m’énerver de plus en plus, et alors que je m’approche de lui, il commence à reculer lentement, et se met à lever le pied…maintenant je le poursuis, énervé par le fait qu’il ne me rendra pas la balle et qu’il s’est moqué de moi devant ses amis…pendant que je le poursuis, je porte encore la petite batte de baseball avec laquelle j’ai frappé la balle, et je l’avertis que s’il ne me rend pas la balle je le frapperai avec…finalement, il se fatigue d’être poursuivi et s’arrête, se tenant près du mur en briques de l’école…je fais un dernier effort pour attraper la balle de son bras tendu, et lorsqu’il la retire une fois de trop, je lui donne un grand coup de batte dans la tête…je n’ai pas l’impression de l’avoir frappé si fort que ça, car j’essayais plus de l’effrayer que de le blesser, et il s’effondre comme un sac de pommes de terre…
On appelle ma belle-mère à l’école, et on me demande de m’expliquer devant elle et le directeur de l’école…je suis frustré par le fait qu’aucun d’entre eux n’a l’air d’avoir de compassion pour ma version de l’histoire, que j’étais la victime dans l’affaire…après que l’on m’a envoyé m’asseoir dans le hall pendant quelque temps, ma belle-mère sort finalement et me ramène à la maison…ils n’ont pas encore décidé de ma punition, et ils vont me la faire savoir le jour suivant après l’école…le lendemain je n’arrive pas à me concentrer, parce que je me sens tellement humilié par tout ce qui est arrivé…beaucoup de mes camarades sont impressionnés par ma violence, mais je suis horrifié par toutes les attentions négatives, parce que je n’ai jamais eu de problèmes à l’école auparavant…je trouve beaucoup de consolation à être l’élève modèle puisque c’est l’un des seuls aspects contrôlables de ma vie, et quelque chose dans lequel je peux exceller sans limitation, pas comme dans mon quotidien à la maison…à la fin de la journée, mon instituteur et le directeur m’emmène dans une salle…ils me disent que ma punition sera de rester après l’école tous les jours jusqu’à ce que j’ai écrit 1500 fois « I will not hit anyone in the head with a baseball bat" ("je ne frapperai personne à la tête avec une batte de baseball")…l’autre partie de la punition est qu’ils m’enlèvent l’honneur de parler devant toute l’école, me rétrogradant dans les faits de la tête de ma classe…je leur demande s’il y a une façon de pouvoir le changer, parce que j’ai beaucoup de regrets pour mes actes et parce que j’attendais impatiemment de parler pour la cérémonie de l’école…ils me disent fermement que leur décision est prise, et qu’il n’y a rien à faire pour alléger ma punition…personne ne m’a jamais demandé s’il y avait une telle violence chez moi…
Lorsque vous considérez que votre feuille de papier standard comporte 26 lignes, vous pouvez vous rendre à quel point écrire 1500 lignes est une corvée (environ 60 pages)…après être resté environ une heure le premier jour après l’école, j’ai fini à peine 4 feuilles, c’est-à-dire environ 200 lignes…pour moi, cela va beaucoup trop lentement…puisque chaque mot de la phrase que je dois écrire commence par un "I" j’élabore un système pour accélérer le procédé…je trace simplement une ligne droite le long de la page, en faisant rapidement les tirets, utilisant le tiret du bas pour celui du haut du "I" suivant (le "N" dans "not", le "H" dans "hit", etc.)…tout va très bien jusqu’à ce que mon instituteur découvre ce que je fais, et me fait tout recommencer depuis le début, déchirant les 15 pages que j’ai déjà finies…
Ma première expérience d’une fille me courant après a aussi lieu cette année-là, dans cette même cour de récréation…l’une de mes camarades de classe, une jolie fille avec de longs cheveux blonds n’arrête pas de me suivre où que j’aille…je ne comprends rien à ce qu’elle veut, parce que lorsque je lui demande si elle veut se joindre à nous quel que soit le jeu auquel nous jouons, elle répond toujours "non merci", mais s’assied et me fixe des yeux à la place…elle fait toujours des choses stupides pour attirer mon attention, mais je continue à simplement l’ignorer parce qu’à mes yeux elle agit bêtement…sa frustration causée par mon dédain explose pendant une récréation, et elle commence à me poursuivre, s’agrippant a moi…comme elle ne peut pas m’attraper, elle enlève sa ceinture en cuir et essaie de me frapper avec…lorsqu’elle me touche finalement, cela ne me fait pas si mal, alors j’éclate de rire à haute voix…ça l’énerve encore plus, donc elle me frappe encore plus fort, et je ris plus fort…à chaque fois que je ris, elle me frappe, encore et encore et encore dans une complète frénésie jusqu’à ce qu’un instituteur arrive finalement et ne mette un terme à tout ça…
Copyright 2005 Billy Corgan. All Rights Reserved. Please do not do reproduce or publish in hard or electronic form without written authorization.
Traduction par Benjamin Pruvost et Antoine Leruste. Copyright 2005. Tous droits réservés. Toute reproduction est interdite sans autorisation écrite.
A deux portes de notre duplex vit une famille avec 2 enfants à peu près du même âge que mon frère et moi…ce sont des gens vraiment très gentils, donc nous passons beaucoup de temps à traîner chez eux, manger leur nourriture, avec leur mère jouant notre baby-sitter occasionnelle…la plus âgée des enfants, celle de mon âge, est un mignon garçon manqué qui est turbulent et extraverti, jouant au football et au baseball avec nous autres les garçons…mon frère n’a pas autant que moi l’esprit de compétition, et n’aime pas le sport, c’est donc bien d’avoir un ami proche qui aime jouer même si c’est une fille…ce n’est pas inhabituel que l’on nous laisse elle et moi tout seuls dans leur maison ou la notre pour jouer, puisque nous sommes des enfants assez murs d’après la plupart des normes…une nuit, laissés tout seuls à nos propres soins, elle me demande si je veux jouer un jeu…toujours partant pour la compétition, je lui demande à quel jeu elle voudrait que l’on joue…elle me dit qu’elle veut jouer au docteur, et quand je lui demande quelles en sont les règles, elle m’explique vaguement que je suis le docteur et qu’elle est la patiente…ne comprenant pas complètement où elle veut en venir, j’accepte quand même…elle m’emmène derrière le bar au sous-sol où il fait vraiment très sombre, et s’allonge sur le sol froid…elle me dit qu’elle est maintenant prête pour être examinée, donc je fais innocemment semblant de vérifier son cœur avec un stéthoscope imaginaire, et lui prends le pouls au poignet…elle a l’air de s’impatienter quelque peu, alors je lui demande ce qui ne va pas…elle ne répond rien, donc je continue de jouer le jeu, lui posant le genre de questions que les docteurs me posent; "est-ce que tu as mal a l’estomac? est-ce que tu dors bien?"…je trouve ce jeu un peu stupide, mais je suis intrigué par le fait de jouer ce jeu dans le noir quasi-total …elle me demande si je veux l’examiner un peu plus, et je dis ok…toujours allongée sur le sol, elle descend sa culotte sur ses genoux, dévoilant son vagin imberbe…c’est la première fois que je vois un vagin, et je le fixe, choqué par la différence qu’il y a entre elle et moi à cet endroit précis…ma tête commence à bourdonner, alors que je suis submergé par une sensation bizarre d’excitation sexuelle…elle est simplement couchée là, immobile, et je ne sais pas vraiment ce que je suis censé faire, ou ce qu’elle veut que je fasse…j’ai honte de la sensation qui m’envahit de faire quelque chose de mal, même si personne ne m’a jamais expliqué quoi que ce soit qui puisse m’indiquer que c’est un tant soit peu mal…elle veut que je la touche, et lorsque je refuse, elle remonte soudainement sa culotte et dit "ok, c’est ton tour"…tout ça me rend tellement fou que je lui dis que j’en ai assez et que je ne veux plus jouer…c’est aussi au cours de cette même nuit qu’elle m’explique très méticuleusement, et avec beaucoup de détails, que le Père Noël n’existe pas…
De retour à l’école en classe de CE1, j’excelle dans mes études, et on me dit systématiquement que je suis le meilleur de la classe en lecture, sciences, et math…les instituteurs me montrent comme l’exemple aux autres élèves de la classe de ce qu’ils attendent d’un élève, particulièrement dans l’animation des discussions de classe et dans les questions pertinentes et encourageantes au sujet de ce qui est enseigné…comme récompense de mes efforts scolaires et de mon aisance à prendre la parole en public, on me demande de lire une partie de la Déclaration d’Independence devant tous les élèves et leurs parents dans le cadre d’une réception nocturne de l’école, ce qui a l’air selon toute vraisemblance d’être très important…puisque l’événement a lieu dans encore quelques semaines, mes instituteurs me donnent du temps supplémentaire en dehors de mes études normales pour le préparer…
Chaque jour après le déjeuner, on laisse sortir tous les enfants du CP au CM2 dans la cour de récréation s’amuser pendant une demi-heure…puisque le baseball est mon sport favori, je passe d’habitude mon temps dehors à y jouer…une après-midi pendant que nous jouons, j’envoie ma balle dans le coin d’enfants plus âgés que je connais pas…lorsque je m’approche de ce groupe d’enfants pour récupérer la balle, un garçon d’environ 3 ans de plus que moi refuse de me la rendre, se moquant de moi devant ses camarades…et débute un jeu stupide où j’essaie d’attraper la balle et il la retire à chaque fois…je commence à m’énerver de plus en plus, et alors que je m’approche de lui, il commence à reculer lentement, et se met à lever le pied…maintenant je le poursuis, énervé par le fait qu’il ne me rendra pas la balle et qu’il s’est moqué de moi devant ses amis…pendant que je le poursuis, je porte encore la petite batte de baseball avec laquelle j’ai frappé la balle, et je l’avertis que s’il ne me rend pas la balle je le frapperai avec…finalement, il se fatigue d’être poursuivi et s’arrête, se tenant près du mur en briques de l’école…je fais un dernier effort pour attraper la balle de son bras tendu, et lorsqu’il la retire une fois de trop, je lui donne un grand coup de batte dans la tête…je n’ai pas l’impression de l’avoir frappé si fort que ça, car j’essayais plus de l’effrayer que de le blesser, et il s’effondre comme un sac de pommes de terre…
On appelle ma belle-mère à l’école, et on me demande de m’expliquer devant elle et le directeur de l’école…je suis frustré par le fait qu’aucun d’entre eux n’a l’air d’avoir de compassion pour ma version de l’histoire, que j’étais la victime dans l’affaire…après que l’on m’a envoyé m’asseoir dans le hall pendant quelque temps, ma belle-mère sort finalement et me ramène à la maison…ils n’ont pas encore décidé de ma punition, et ils vont me la faire savoir le jour suivant après l’école…le lendemain je n’arrive pas à me concentrer, parce que je me sens tellement humilié par tout ce qui est arrivé…beaucoup de mes camarades sont impressionnés par ma violence, mais je suis horrifié par toutes les attentions négatives, parce que je n’ai jamais eu de problèmes à l’école auparavant…je trouve beaucoup de consolation à être l’élève modèle puisque c’est l’un des seuls aspects contrôlables de ma vie, et quelque chose dans lequel je peux exceller sans limitation, pas comme dans mon quotidien à la maison…à la fin de la journée, mon instituteur et le directeur m’emmène dans une salle…ils me disent que ma punition sera de rester après l’école tous les jours jusqu’à ce que j’ai écrit 1500 fois « I will not hit anyone in the head with a baseball bat" ("je ne frapperai personne à la tête avec une batte de baseball")…l’autre partie de la punition est qu’ils m’enlèvent l’honneur de parler devant toute l’école, me rétrogradant dans les faits de la tête de ma classe…je leur demande s’il y a une façon de pouvoir le changer, parce que j’ai beaucoup de regrets pour mes actes et parce que j’attendais impatiemment de parler pour la cérémonie de l’école…ils me disent fermement que leur décision est prise, et qu’il n’y a rien à faire pour alléger ma punition…personne ne m’a jamais demandé s’il y avait une telle violence chez moi…
Lorsque vous considérez que votre feuille de papier standard comporte 26 lignes, vous pouvez vous rendre à quel point écrire 1500 lignes est une corvée (environ 60 pages)…après être resté environ une heure le premier jour après l’école, j’ai fini à peine 4 feuilles, c’est-à-dire environ 200 lignes…pour moi, cela va beaucoup trop lentement…puisque chaque mot de la phrase que je dois écrire commence par un "I" j’élabore un système pour accélérer le procédé…je trace simplement une ligne droite le long de la page, en faisant rapidement les tirets, utilisant le tiret du bas pour celui du haut du "I" suivant (le "N" dans "not", le "H" dans "hit", etc.)…tout va très bien jusqu’à ce que mon instituteur découvre ce que je fais, et me fait tout recommencer depuis le début, déchirant les 15 pages que j’ai déjà finies…
Ma première expérience d’une fille me courant après a aussi lieu cette année-là, dans cette même cour de récréation…l’une de mes camarades de classe, une jolie fille avec de longs cheveux blonds n’arrête pas de me suivre où que j’aille…je ne comprends rien à ce qu’elle veut, parce que lorsque je lui demande si elle veut se joindre à nous quel que soit le jeu auquel nous jouons, elle répond toujours "non merci", mais s’assied et me fixe des yeux à la place…elle fait toujours des choses stupides pour attirer mon attention, mais je continue à simplement l’ignorer parce qu’à mes yeux elle agit bêtement…sa frustration causée par mon dédain explose pendant une récréation, et elle commence à me poursuivre, s’agrippant a moi…comme elle ne peut pas m’attraper, elle enlève sa ceinture en cuir et essaie de me frapper avec…lorsqu’elle me touche finalement, cela ne me fait pas si mal, alors j’éclate de rire à haute voix…ça l’énerve encore plus, donc elle me frappe encore plus fort, et je ris plus fort…à chaque fois que je ris, elle me frappe, encore et encore et encore dans une complète frénésie jusqu’à ce qu’un instituteur arrive finalement et ne mette un terme à tout ça…
Copyright 2005 Billy Corgan. All Rights Reserved. Please do not do reproduce or publish in hard or electronic form without written authorization.
Traduction par Benjamin Pruvost et Antoine Leruste. Copyright 2005. Tous droits réservés. Toute reproduction est interdite sans autorisation écrite.
publié par Antoine Leruste dans: Les Confessions