C’est une journée radieuse et ensoleillée, la première de notre bonheur conjugal…je suis heureux, car tout est terminé dans ma tête, dans les deux sens du terme…durant le mariage, toutes sortes de fleurs et de cadeaux sont arrivés du monde entier, un hommage à notre union et ma vie / renommée internationale…je suis maintenant un homme marié, et je vois ma femme dans le contexte de ma famille de sang, elle est à moi et je suis à elle…durant les 6 années ensemble avant cela, au travers des nombreux hauts et bas de casser et revenir ensemble ; les infidélités (des deux côtés), les trahisons, et les moments d’amour percutants dans le meilleur sens du terme, le chemin nous a mené à ce jour où nous somme maintenant blottis ensemble dans cette belle ancienne maison sur une rue parcourue d’arbres…mon plus gros souci avec Chris a toujours été sa disparition, et ma motivation pour le mariage a tout à voir avec ses insinuations qu’elle ne peut pas être complètement elle-même ou être présente si elle ne voit pas un engagement de ma part envers la relation…tout cela fait parti du passé maintenant, alors je commence cette nouvelle journée de mariage plein de croyance que ma femme va enfin apparaître et être là avec moi, chaque cellule de son corps vivante avec confiance et sécurité…elle ne peut plus se plaindre qu’elle ne se sent pas en sécurité, car j’ai abandonné tout les autres et choisi d’être avec elle…
Le même salon où s’est passé la cérémonie est maintenant couvert de ces cadeaux par centaine, et tout le piano et la table de la salle à manger sont couverts de bouquets et de vases remplis de fleurs somptueuses qui remplissent l’air de douceur…quelque part au milieu du désordre d’hier, un ami m’a prévenu que j’allais avoir une 'livraison' spéciale…avec Chris en dehors de la pièce, je vais voir, me dirigeant directement vers le bouquet de fleur le plus élaboré et le plus cher, devinant juste du premier coup…c’est de la part de Courtney, et la carte me félicite simplement pour mon mariage, mais c’est ce qu’elle ne dit pas qui dit des milliers de mots, alors je mets la carte dans ma poche…nous passons des heures à parcourir les cadeaux et les cartes, et à écrire à chacun d’eux pour que des 'mercis' puissent être donnés spécifiquement par rapport aux choses données…je retiens ma respiration quand nous arrivons au bouquet de Courtney, et je mens à Chris en lui disant qu’il n’y a pas de carte, agissant comme si c’était quelque chose de curieux pour un si beau cadeau…
Avant de partir en voyage ensemble, Chris et moi nous démenons pour assembler les illustrations de l’album…puisque nous sommes prêt à partir deux jours après le mariage, nous n’avons que cette après midi pour tout terminer, ou l’album sera repoussé…une quelconque tentative à ce stade du travail avec la maison de disque pour avoir ce que je veux par rapport aux illustrations a jusqu’à présent été frustrant et décevant…alors cela me tombe dessus à la dernière seconde, et Chris est engagée car elle a fait une école d’art…prenant quelques vieilles photos, certaines avec des étrangers et d’autres avec ma famille, nous dessinons et écrivons les paroles dessus d’une telle façon que cela évoque un album de photo perdu (comme on pourrait trouver dans le grenier de quelqu’un)…dans certains coins, les mots sont à peine lisibles, dans d’autres ils sonnent fort et clairement…nous travaillons assidûment pendant près de 8 heures avant de terminer et de nous dessiner sur les mains et les genoux sur le plancher de la maison…bien que je ne suis pas satisfait du résultat, ils devront faire avec…je choisis de ne pas toucher à la photo arrière du livret, une photo de ma mère quand elle était enfant assise sur la lune à Riverview…
Nous partons en lune de miel deux jours après le mariage, c’est à Cozumel au Mexique…c’est ma première visite internationale sans le groupe alors je suis un peu nerveux car il n’y a personne avec nous pour prendre en charge toute l’organisation nécessaire, mais tout se passe bien et nous arrivons à l’hôtel sans incident…personne ne nous a informé avant qu’on arrive que c’est la saison des pluies ici, alors nous passons la plupart de notre temps dans la chambre à regarder le déluge tropical de la dalle en béton qu’ils appellent terrace…Cozumel même est juste une ville ennuyeuse de touristes, alors il y a peu à voir et à faire d’important, et nous passons nos soirées dans un bar à regarder des matchs de la NBA (ils ont une antenne satellite)…même pendant ma lune de miel, je suis assailli par les managers et la maison de disque me poussant à répondre à propos du groupe et du moindre détail sur les illustrations de l’album…la jurisprudence et la constante primordiale est que rien n’est sacré dans ma vie, pas mon mariage, pas ma lune de miel, pas ma paix…
Le temps fort de notre voyage sera la visite de la terre sainte de Chichen Itza, les ruines découvertes d’une vieille ville Mayan…Chris réserve le voyage, qui inclut l’avion pour y aller et mentionne au hasard en passant que si je veux annuler, ils ont besoin d’être au courant 24 heures avant…le voyage lui même est mis en danger quand un jour avant que nous soyons censés partir, je me retrouve avec un mal à l’estomac qui me fait vomir presque toutes les heures…il est maintenant trop tard pour annuler, et Chris me supplie d’oublier le voyage car elle est trop inquiète pour moi et ma santé…dû à mes gênes Irlandais (ou est ce de la mauvaise qualité ?), j’insiste pour que nous partions quand même…
Le vol est une horrible histoire, alors que voyageons pendant une heure dans ce qui semple être un résidu de la guerre civile sans air conditionné….je transpire abondamment et j’ai l’impression que je vais mourir d’une seconde à l’autre, mais je me dis sans cesse que c’est mon unique chance de voir la vieille ville car je ne retournerai jamais plus à Cozumel tant que je suis vivant…nous atterrissons au milieu de la jungle sur ce qui semble être une piste d’envol mais qui passerait difficilement pour une route…une fois aux portes de la ville, nous sommes rassemblés dans un groupe parlant l’anglais et on nous attribue un guide, un natif trapu qui sort des mauvaises blagues 'genre touriste Americain' qu’on sait qu’il a déjà raconté un millier de fois auparavant…il nous dit que nous devons rester avec le groupe d’une manière arrogante et condescendante si bien que je commence déjà à ne pas l’apprécier…il y a peu d’ombre alors que nous nous dirigeons pour visiter les terres, et la température dépasse les 40 degrés au soleil brûlant…je me sens malade, mais la ville anciennement cachée est incroyable à observer et je suis reconnaissant d’avoir préservé à venir…j’adore l’histoire, et me trouver dans cet endroit m’aide à absorber une partir de cette ancienne culture stupéfiante…Chris et moi commençons à trainer, nous essayons d’éviter les monologues quasiment politiques sur le fait que les Américains profitent des Mexicains (ce qui à mon avis est intéressé et une intrusion injuste ici au milieu d’une culture défunte)…d’une façon ou d’une autre, il essaie de faire des parallèles entre les envahisseurs qui ont détruit cette société inspirée et l’assaut de la culture Américaine à Mexico, ce qui dans mon cœur est plutôt exagéré…
Il monte les groupes en leur donnant des informations et en les pointant vers l’endroit suivant, et ensuite il se donne du mal pour venir vers moi à l’arrière du groupe pour dire quelque chose…au début, il fait sa routine mignonne 'rejoins nous petit touriste Américain' que je ne gobe pas dans mon état difficile…quand je ne réponds pas immédiatement à son approche, il change de comportement et de ton pour devenir fâché, il me donne ses règles de merde…je lui dis d’aller se faire foutre, que je suis malade, que j’ai pas besoin de sa vision de cet endroit, je m’en sors assez bien tout seul, et si il me presse je m’assurerai de vomir dans sa direction, ce à quoi il recule et il nous laisse tranquille le reste du voyage…cela s’avère être une chance, Chris et moi pouvons nous balader sur le site à notre propre allure et nous arrêter dans la moindre ombre que nous pouvons trouver pour que je puisse me repose un peu…
De retour de lune de miel, nous nous renseignons à propos des 2 vidéos du mariage qui ont été filmées…Hippie Bob nous dit que, à son grand désarroi, ses batteries étaient vides après seulement une minute, donc tout ce qu’il a c’est Chris descendant les escaliers…ça lui ressemble tellement que nous en rigolons, nous disant que nous sommes sans danger avec la caméra du mari de ma belle-mère…à notre désarroi, il nous dit que quelque chose s’est très mal passé, et pour une raison ou une autre la moitié de l’écran (la moitié supérieure) de ce qu’il a filmé est manquante avec à la place uniquement des parasites blancs numériques…(le photographe du mariage, un ami d’école d’arts de Chris, se dispute avec Chris à propos des photos, alors nous n’aurons jamais les négatifs, les seules photos survivantes que nous avons sont juste une petite série comme ce qu’on pourrait avoir de n’importe quel supermarché)…
Le lendemain de mon retour de Mexico, je reçois un coup de fil alarmant du copain de ma mère…"quelque chose s’est passé avec ta mère, elle est à l’hôpital"…quand je le pousse à me donner des détails, il me dit que rien de grave n’est arrivé en soi, mais elle a eu un petit 'effondrement' et l’état tente maintenant de l’interner…il me dit qu’il l’a trouvé en train de flâner dans mon quartier, affirmant que des extra terrestres lui courraient après, et ne sachant pas quoi faire, il l’a emmené dans un hôpital, où il a inconsciemment signé des papiers pour la faire interner…elle est maintenant en évaluation pendant 72 heures, et l’état refuse de la laisser partir…je lui demande si "quelque chose de grave est arrivé", et tout ce qu’il peut me raconter c’est que peut être elle aurait pris trop de pilules amaigrissantes…
J’ai finalement ma mère au téléphone de l’hôpital…"Sors moi de cette merde ! " grogne t’elle, et elle me prie de trouver un avocat pour la sortir de là…elle est inquiète de ne pas aller travailler, et ils la vireront si ils s’en rendent compte…puisqu’une de mes bonnes amies est avocat, je lui demande d’intervenir en faveur de ma mère, et en lâchant quelques noms et avec des menaces de poursuites judiciaires, elle sort Martha de là en 8 heures…je ne reparle jamais de cet incident avec ma mère, car elle ne veut pas en parler…pour elle, c’est du passé…
Copyright 2005 Billy Corgan. All Rights Reserved. Please do not do reproduce or publish in hard or electronic form without written authorization.
Traduction par Antoine Leruste. Copyright 2005. Tous droits réservés. Toute reproduction est interdite sans autorisation écrite.
Le même salon où s’est passé la cérémonie est maintenant couvert de ces cadeaux par centaine, et tout le piano et la table de la salle à manger sont couverts de bouquets et de vases remplis de fleurs somptueuses qui remplissent l’air de douceur…quelque part au milieu du désordre d’hier, un ami m’a prévenu que j’allais avoir une 'livraison' spéciale…avec Chris en dehors de la pièce, je vais voir, me dirigeant directement vers le bouquet de fleur le plus élaboré et le plus cher, devinant juste du premier coup…c’est de la part de Courtney, et la carte me félicite simplement pour mon mariage, mais c’est ce qu’elle ne dit pas qui dit des milliers de mots, alors je mets la carte dans ma poche…nous passons des heures à parcourir les cadeaux et les cartes, et à écrire à chacun d’eux pour que des 'mercis' puissent être donnés spécifiquement par rapport aux choses données…je retiens ma respiration quand nous arrivons au bouquet de Courtney, et je mens à Chris en lui disant qu’il n’y a pas de carte, agissant comme si c’était quelque chose de curieux pour un si beau cadeau…
Avant de partir en voyage ensemble, Chris et moi nous démenons pour assembler les illustrations de l’album…puisque nous sommes prêt à partir deux jours après le mariage, nous n’avons que cette après midi pour tout terminer, ou l’album sera repoussé…une quelconque tentative à ce stade du travail avec la maison de disque pour avoir ce que je veux par rapport aux illustrations a jusqu’à présent été frustrant et décevant…alors cela me tombe dessus à la dernière seconde, et Chris est engagée car elle a fait une école d’art…prenant quelques vieilles photos, certaines avec des étrangers et d’autres avec ma famille, nous dessinons et écrivons les paroles dessus d’une telle façon que cela évoque un album de photo perdu (comme on pourrait trouver dans le grenier de quelqu’un)…dans certains coins, les mots sont à peine lisibles, dans d’autres ils sonnent fort et clairement…nous travaillons assidûment pendant près de 8 heures avant de terminer et de nous dessiner sur les mains et les genoux sur le plancher de la maison…bien que je ne suis pas satisfait du résultat, ils devront faire avec…je choisis de ne pas toucher à la photo arrière du livret, une photo de ma mère quand elle était enfant assise sur la lune à Riverview…
Nous partons en lune de miel deux jours après le mariage, c’est à Cozumel au Mexique…c’est ma première visite internationale sans le groupe alors je suis un peu nerveux car il n’y a personne avec nous pour prendre en charge toute l’organisation nécessaire, mais tout se passe bien et nous arrivons à l’hôtel sans incident…personne ne nous a informé avant qu’on arrive que c’est la saison des pluies ici, alors nous passons la plupart de notre temps dans la chambre à regarder le déluge tropical de la dalle en béton qu’ils appellent terrace…Cozumel même est juste une ville ennuyeuse de touristes, alors il y a peu à voir et à faire d’important, et nous passons nos soirées dans un bar à regarder des matchs de la NBA (ils ont une antenne satellite)…même pendant ma lune de miel, je suis assailli par les managers et la maison de disque me poussant à répondre à propos du groupe et du moindre détail sur les illustrations de l’album…la jurisprudence et la constante primordiale est que rien n’est sacré dans ma vie, pas mon mariage, pas ma lune de miel, pas ma paix…
Le temps fort de notre voyage sera la visite de la terre sainte de Chichen Itza, les ruines découvertes d’une vieille ville Mayan…Chris réserve le voyage, qui inclut l’avion pour y aller et mentionne au hasard en passant que si je veux annuler, ils ont besoin d’être au courant 24 heures avant…le voyage lui même est mis en danger quand un jour avant que nous soyons censés partir, je me retrouve avec un mal à l’estomac qui me fait vomir presque toutes les heures…il est maintenant trop tard pour annuler, et Chris me supplie d’oublier le voyage car elle est trop inquiète pour moi et ma santé…dû à mes gênes Irlandais (ou est ce de la mauvaise qualité ?), j’insiste pour que nous partions quand même…
Le vol est une horrible histoire, alors que voyageons pendant une heure dans ce qui semple être un résidu de la guerre civile sans air conditionné….je transpire abondamment et j’ai l’impression que je vais mourir d’une seconde à l’autre, mais je me dis sans cesse que c’est mon unique chance de voir la vieille ville car je ne retournerai jamais plus à Cozumel tant que je suis vivant…nous atterrissons au milieu de la jungle sur ce qui semble être une piste d’envol mais qui passerait difficilement pour une route…une fois aux portes de la ville, nous sommes rassemblés dans un groupe parlant l’anglais et on nous attribue un guide, un natif trapu qui sort des mauvaises blagues 'genre touriste Americain' qu’on sait qu’il a déjà raconté un millier de fois auparavant…il nous dit que nous devons rester avec le groupe d’une manière arrogante et condescendante si bien que je commence déjà à ne pas l’apprécier…il y a peu d’ombre alors que nous nous dirigeons pour visiter les terres, et la température dépasse les 40 degrés au soleil brûlant…je me sens malade, mais la ville anciennement cachée est incroyable à observer et je suis reconnaissant d’avoir préservé à venir…j’adore l’histoire, et me trouver dans cet endroit m’aide à absorber une partir de cette ancienne culture stupéfiante…Chris et moi commençons à trainer, nous essayons d’éviter les monologues quasiment politiques sur le fait que les Américains profitent des Mexicains (ce qui à mon avis est intéressé et une intrusion injuste ici au milieu d’une culture défunte)…d’une façon ou d’une autre, il essaie de faire des parallèles entre les envahisseurs qui ont détruit cette société inspirée et l’assaut de la culture Américaine à Mexico, ce qui dans mon cœur est plutôt exagéré…
Il monte les groupes en leur donnant des informations et en les pointant vers l’endroit suivant, et ensuite il se donne du mal pour venir vers moi à l’arrière du groupe pour dire quelque chose…au début, il fait sa routine mignonne 'rejoins nous petit touriste Américain' que je ne gobe pas dans mon état difficile…quand je ne réponds pas immédiatement à son approche, il change de comportement et de ton pour devenir fâché, il me donne ses règles de merde…je lui dis d’aller se faire foutre, que je suis malade, que j’ai pas besoin de sa vision de cet endroit, je m’en sors assez bien tout seul, et si il me presse je m’assurerai de vomir dans sa direction, ce à quoi il recule et il nous laisse tranquille le reste du voyage…cela s’avère être une chance, Chris et moi pouvons nous balader sur le site à notre propre allure et nous arrêter dans la moindre ombre que nous pouvons trouver pour que je puisse me repose un peu…
De retour de lune de miel, nous nous renseignons à propos des 2 vidéos du mariage qui ont été filmées…Hippie Bob nous dit que, à son grand désarroi, ses batteries étaient vides après seulement une minute, donc tout ce qu’il a c’est Chris descendant les escaliers…ça lui ressemble tellement que nous en rigolons, nous disant que nous sommes sans danger avec la caméra du mari de ma belle-mère…à notre désarroi, il nous dit que quelque chose s’est très mal passé, et pour une raison ou une autre la moitié de l’écran (la moitié supérieure) de ce qu’il a filmé est manquante avec à la place uniquement des parasites blancs numériques…(le photographe du mariage, un ami d’école d’arts de Chris, se dispute avec Chris à propos des photos, alors nous n’aurons jamais les négatifs, les seules photos survivantes que nous avons sont juste une petite série comme ce qu’on pourrait avoir de n’importe quel supermarché)…
Le lendemain de mon retour de Mexico, je reçois un coup de fil alarmant du copain de ma mère…"quelque chose s’est passé avec ta mère, elle est à l’hôpital"…quand je le pousse à me donner des détails, il me dit que rien de grave n’est arrivé en soi, mais elle a eu un petit 'effondrement' et l’état tente maintenant de l’interner…il me dit qu’il l’a trouvé en train de flâner dans mon quartier, affirmant que des extra terrestres lui courraient après, et ne sachant pas quoi faire, il l’a emmené dans un hôpital, où il a inconsciemment signé des papiers pour la faire interner…elle est maintenant en évaluation pendant 72 heures, et l’état refuse de la laisser partir…je lui demande si "quelque chose de grave est arrivé", et tout ce qu’il peut me raconter c’est que peut être elle aurait pris trop de pilules amaigrissantes…
J’ai finalement ma mère au téléphone de l’hôpital…"Sors moi de cette merde ! " grogne t’elle, et elle me prie de trouver un avocat pour la sortir de là…elle est inquiète de ne pas aller travailler, et ils la vireront si ils s’en rendent compte…puisqu’une de mes bonnes amies est avocat, je lui demande d’intervenir en faveur de ma mère, et en lâchant quelques noms et avec des menaces de poursuites judiciaires, elle sort Martha de là en 8 heures…je ne reparle jamais de cet incident avec ma mère, car elle ne veut pas en parler…pour elle, c’est du passé…
Copyright 2005 Billy Corgan. All Rights Reserved. Please do not do reproduce or publish in hard or electronic form without written authorization.
Traduction par Antoine Leruste. Copyright 2005. Tous droits réservés. Toute reproduction est interdite sans autorisation écrite.
publié par Antoine Leruste dans: Les Confessions